En parcourant mon Finder ce 15 mars, je réalise que j’ai écrit pas mal de Cachets ces derniers temps…
Tu les as reçus, toi ?
Inutile de vérifier tes spams.
Il n’y a RIEN.
Je deviens avare en mots.
Et cette maladie porte un nom : c’est le perfectionnisme.
C’est comme quand je me retrouve à modifier un point-virgule sur une nouvelle écrite en 2023, jamais publiée, dans l’attente de l’être quand l’alignement des phrases (et des planètes) sera idéal.
(La semaine prochaine, j’ajoute une conjonction de coordination)
Sauf qu’en y réfléchissant :
Il est utile à soi de poster des trucs incomplets, à la ramasse, impopulaires.
Se confronter à la foule est la meilleure façon de rectifier sa ligne de tir.
Cher antifragile, ne voulons-nous pas devenir meilleurs ?
Seth Godin illustre parfaitement mes propos, page 65 de la Vache Pourpre, son bouquin de marketing que je dévore entre deux Cachets avortés :
« Nous avons été élevés dans une fausse croyance : la critique mène à l’échec. Dès notre entrée à l’école, on nous a enseigné qu’il était mal de se faire remarquer. Cela nous menait illico chez le directeur, pas à Harvard.
Personne ne se dit : ouais, j’aimerais me placer dans une situation qui m’attirera des critiques. Et pourtant, c’est exactement ce qu’il faut faire pour devenir remarquable »
Tu l’as compris, je risque d’égayer tes journées un peu plus souvent.
Que l’invasion commence 😈
Et j’attends tes retours incisifs.
(En d’autres termes, démonte tous mes mails à coup de pelle stp)
Pour clôturer :
Puisque qu’on vit dans notre monde où le temps file à toute allure, et où on peut être oublié en moins de 15 jours…
Laisse-moi me ré-introduire.
(Si tu te rappelles de moi, passe le récap comme sur Netflix, on se revoit bientôt)
Je suis Benjamin, et si tu es ici, c’est que tu as trouvé mes blagues assez drôles pour décider de demander du rab dans ta boite mail.
En clair, je t’envoie de la valeur ajoutée, mais avec un p’tit truc en plus : le fun.
Je pourrais me définir comme copywriter, photographe, écrivain, moulin à parole, sportif, clavier infatigable, artiste, entrepreneur, fou du village, aventurier, introverti, extraverti…
Mais la vérité, c’est que je ne sais pas qui je suis.
Ou plutôt, je n’aime pas me créer d’identité immuable.
Je suis évolutif. Je suis, tout simplement.
C’est la passion qui me donne cette hâte d’être réveillé chaque matin. J’aime lancer des projets qui me passionnent.
En ce moment, j’en ai beaucoup sur le grill.
Je n’en dis pas plus, mais si tu pouvais déjà partager ce lien à des entreprises qui ont une com’ éclatée :
Je te devrais une fière chandelle.