Je plaide coupable.
Attends, petite gorgée de chai latte et on commence.
*goulutade*
C’est exactement la boisson qui me fallait par 25 degrés et 25000 sur la Promenade des Anglais.
En me jetant au monde, rien ne laissait présager un tel massacre.
Je pense pouvoir affirmer que j’ai ruiné pas mal de frigos ces dernières années.
Faut dire que j’adore le beau papier.
Et que, paradoxalement, ça me gave un peu de taper sur mon clavier.
Bref, j’aspire à battre Michel Cymes en écriture.
Tu l’auras compris, j’adore écrire des cartes postales.
Pour l’anniv de ma pote Eloise, je lui ai offert des aimants pour être sûr d’avoir une place de choix.
T’inquiète, j’ai aussi cuisiné un cake à la fleur d’oranger, et ça m’a donné l’occasion de la connaître encore mieux :
Car en vérité, Eloise déteste la fleur d’oranger.
Pfiou, c’était long comme intro.
Récemment, j’ai chopé une carte pour la famille, et on y voit clairement la Prom dans les années 50.
Ce qui m’avait plu sur la photo, c’était les transats publics posés ici et là.
Aujourd’hui, on a des chaises bleues plus iconic que la papamobile, mais plus un transat à l’horizon.
Seules solutions : les plages privées, ou investir.
Entre temps j’ai réfléchi.
Pas de contexte historique sur la carte : peut-être était-ce pour un évènement ?
Et surtout, on a un visu sur 30 mètres.
Rappelons que la Prom fait 7km, soit 203 fois cette distance.
Tu l’auras compris : le photographe nous montre ce qu’il veut.
En gros, ne fais jamais confiance à ce que tu vois sur une image.
En tout cas ce qui est sûr, c’est que Cachet de Cire, c’était pas mieux avant et ça sera mieux bientôt.